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dimanche 27 mars 2016

Big Jim, Chien Brun alias Jim Harrison n'est plus... il nous laisse orphelins, gardiens d'une oeuvre romanesque remarquable !


C'est dimanches de Pâques... et alors ?

... ET MERDE !
 
J'appréhendais depuis de longs mois de lire, d'entendre un telle nouvelle triste, je subodorais cette issue trop proche et pourtant, elle me fait chavirer... je l'aurais voulu centenaire, encore écrivant pour nous ravir encore. 





Big Jim alias Jim Harrison, que je tiens pour être un des plus grands écrivains américains du XXe siècle, nous a quittés samedi 26 mars 2016 dans la nuit. 


Que les cieux lui offrent une quiétude pour les siècles des siècles... je lui offre mon cœur comme tombeau éternel.





Je poursuivrai, un de ces prochains jours, cette notule attristée par un plus long exposé sur les souvenirs de mes lectures émerveillées de ses romans, de ses nouvelles... le trouble et le manque m'auront quitté, j'aurai alors apprivoisé l'obscurité dans laquelle me laisse sa disparition. 
Le 2 octobre 2015, Jim Harrison avait subi la perte de sa chère épouse Linda King Harrison qu'il avait épousée en 1959.

Leelanau Enterprise 

2015-10-08 / Obituaries

LINDA KING HARRISON

  Linda King Harrison, 74, died calmly and without pain on October 2 in Billings, Montana, surrounded by her family and friends, after struggling for several weeks with a rare lung disease.

Linda was born on October 12, 1940, in Lansing, Michigan, to Margery Moulton and William Ludlow King, a wonderful father who was very like her. She married Jim Harrison on October 10, 1959, and they lived in Boston, Kingsley, Michigan, and on Long Island before moving to Leelanau County, Michigan in 1968. Fifteen years ago, they moved to Livingston to be closer to their daughters and grandchildren. She was a beautiful woman, graceful in all things, a horsewoman, gardener, natural architect and artist, reader, and a phenomenal cook. She had a fine sense of humor and did not suffer fools gladly, but no one has ever been kinder. She is survived by her husband of 55 years, her daughters and sons-in-law Anna and Max Hjortsberg and Jamie and Steve Potenberg, her three grandsons, Will and John Potenberg and Silas Hjortsberg, and her crazy, beautiful dog Folly. She is survived as well by friends in Michigan, Arizona, Montana, and elsewhere, many of whom she talked about with love in her last days. She was an only child, but when she married she gained sisters and brothers: Mary and Nick Dumsch of Rodney, Michigan, John and Rebecca Harrison of Fayetteville, Arkansas, and David and Cindy Harrison of Bainbridge Island, Washington.
Linda was intensely private, and it was her wish that there be no memorial service. Her family would like to thank Joyce Harrington Bahle (for everything), Doug Wadle (for years of care and compassion), and Lisa Davis and Jan Kimmel (for helping, always). Anyone wishing to honor Linda’s memory may make a donation to Livingston’s Stafford Animal Shelter (3 Business Park Road, Livingston, MT 59047) or its Food Resource Center (202 South 2nd Street, Livingston, MT 59047).

In the words of a poet she loved: I could say that we are released, but I don’t know, in our private night when our souls explode into a billion fragments then calmly regather in a black pool in the forest, far from the cage of flesh, the unremitting “I.” This was a dream and in dreams we are forever alone walking the ghost road beyond our lives.

http://patrickbesset.blogspot.fr

 

  Pour en savoir plus, n'hésitez pas, envoyez un courrier électronique à Patrick Besset 

Bulletin météorologique du jour et des suivants car un écrivain averti en vaudrait deux !




Si le temps est à l'orage, emparez-vous d'un recueil de nouvelles joyeuses, vous pourrez toujours entendre les récriminations de votre compagnon ou de votre compagne qui s'époumone dans la pièce voisine sinon votre descendance qui s'étripe à l'étage.
Si la pluie mouille le jardin, lisez des bandes dessinées, des recettes de cuisine ou des magazines automobiles afin de moins vous mortifier...
Si une éclaircie pointe à l'horizon, saisissez le bouquin abandonné l'avant-veille pour vous installer confortablement devant la vitre du salon.
Si le soleil perce au travers des nuages, prenez un des titres que je vous recommande et jetez dans les cendres de la cheminée une mèche de vos cheveux pour conjurer le mauvais sort... mais de grâce, lisez, lisez encore, lisez toujours.

Il n'y a pas que le sexe ou le travail dans la vie, pas plus qu'il n'y aurait que des bons ou des méchants autour de vous...


livres audio gratuits

Playing for Change : un succès planétaire !

Playing for Change est un projet musical multimédia qui met en scène des musiciens des quatre coins du monde pour diffuser un message de paix. En mars 2005, Mark Johnson, ingénieur du son et réalisateur, filme le guitariste et chanteur Roger Ridley dans les rues de Los Angeles, interprétant Stand by me. Il décide alors d'ajouter à cette même chanson d'autres musiciens dont Grandpa Elliot à la Nouvelle-Orleans avec sa voix chaude, en superposant leur interprétation à celle de Roger Ridley.

Il part alors avec son équipe à Barcelone, où il enregistre notamment Clarence Bekker sur Stand by me avant de partir pour l'Afrique du Sud, l'Inde, le Népal, le Proche Orient afin d'enrichir Stand by me et d'autres chansons créées sur ce même concept. La vidéo officielle de Stand By Me compte aujourd'hui plus de 39 millions de visites sur Youtube et Dailymotion (actualisé en 2012).

Stand by Me (Reste près de moi) est une chanson interprétée par Ben E. King alias Benjamin Earl Nelson (1938-2015), composée et écrite en 1961 par lui-même avec Jerry Leiber (1933-2011) et Mike Stoller (1933- ..).

La Fondation Playing for Change est une organisation à but non lucratif destinée au développement d'écoles de musiques à travers le monde. En 2008, une première école de musique est créée par la Fondation à Guglethu, (Ntonga Music School), dans la banlieue de Cape Town, en Afrique du Sud. En 2010 deux écoles de musiques construites et ouvertes: L'École de Musique et de Dance Bizung, à Tamalé (Ghana), L'École de Musique de Kirina (Mali). La Fondation Playing for Change développe des programmes éducatifs au Népal à Tintale (Katmandu) et au Rwanda (Intore Cultural Center) en collaboration avec d'autres organisations.
La formation musicale " The Playing For Change Band " sera en tournée à travers le monde dès février 2012. On y retrouvera Mohammed Alidu (percussions - Nord du Ghana), Clarence Bekker (voix - Pays-Bas/Surinam), Grandpas Elliot (voix/harmonica - Nouvelle-Orléans), Mermans Kenkosenki (voix/percussions - République Démocratique du Congo), Jason Tamba (guitariste - Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo) et Titi Tsira (voix - Gugulethu, township du Cap-Occidental, Afrique du Sud).

D'autres chansons sont rassemblées sur un cd/dvd produit en collaboration avec Concord Records, sorti en avril 2009 aux États-Unis. En 2010, un deuxième album sort, Playing for Change Live, qui réunit des artistes du monde entier sur scène. En 2011, un troisième album sort, "PFC 2: Songs Around The World".

Le documentaire "Playing for change : Peace trough music", (83 min) réalisé par Mark Johnson et Jonathan Walls est un voyage musical sur quatre continents qui relate la réalisation de ces chansons autour du monde, nous mène à la rencontre de musiciens de divers horizons, évoquant la réalité dans laquelle ils vivent et contemplant le pouvoir de la musique en tant que vecteur universel de paix. Le film est d'abord présenté en 2008 dans une version inachevée au Festival du Film de TriBeCa, à New York, avant d'être diffusé dans une version courte (57min), en été 2009 sur le "Public Broadcasting Service" (PBS) - réseau de télévision public à but non lucratif avec 354 stations de télévision membres aux États-Unis qui le détiennent en propriété collective. La version finale (83 min) est sortie aux États-Unis en octobre 2009 aux États-Unis en DVD en septembre 2009.


Pour vous, selon les circonstances, écrire correspond à...



. une vraie corvée qui vous pourrit la vie ? Vive le dictaphone, le téléphone sans fil et votre webcam...


. une étape obligatoire dont vous vous accommodez pour rédiger un rapport, demander une augmentation de salaire, vous plaindre d'un commerçant malhonnête ou dénoncer un voisin trop bruyant ?


. une activité archaïque, de la nostalgie au charme suranné qui vous ramène au temps de votre enfance, à l'époque des pleins et des déliés, du porte-plume, des plumes Sergent-Major et du bonnet d'âne ?


. un simple plaisir qui vous rend heureux, en maniant le verbe et la langue, afin de faire de belles phrases pour offrir de beaux voyages imaginaires à vos correspondants coincés dans la routine du quotidien ?


. une véritable drogue, vous êtes graphomane ? Pas un jour, pas une heure sans une ligne dans votre journal, sur l'écran d'un de vos ordinateurs, sur une feuille blanche, sur une page de carnet, dans la marge du journal parcouru en buvant votre café noir.


. une religion païenne ? Tous les jours, vous remerciez le ciel d'avoir permis aux sumériens des temps Anciens de vous léguer une si belle invention.

... dîtes-moi donc à quoi correspond, pour vous, le temps passé à écrire ?

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Merci Jacquie !


Jacquie Lawson e-cards

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Enfin libre ? Plus de temps libre pour pouvoir écrire, presque zen. Vive l'Euro Millions !




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Voici quelques destinations intéressantes, drôles parfois :

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